Création de cabinet de kinésithérapie : démarches et solutions d’accompagnement
La création d’un cabinet de kinésithérapie est une décision importante qui doit être mûrement réfléchie. Votre décision est prise ? Il est temps de lancer toutes les démarches pour pouvoir démarrer votre activité de kinésithérapeute.
Il existe des solutions pour être accompagné, gagner du temps et ainsi pouvoir se concentrer sur l’essentiel : soigner ses patients. Dans cet article, Suire Médical vous propose de revenir sur les démarches à effectuer. Nous aborderons également notre solution d’accompagnement pour la création d’un cabinet kiné.
Quelles sont les conditions pour devenir masseur-kinésithérapeute ?
Pour devenir kiné, il est nécessaire de détenir un diplôme d’État. Quant à l’installation et l’ouverture d’un cabinet, cette dernière nécessite l’accomplissement de certaines démarches et études préalables :
- La réalisation d’une étude de marché pour un positionnement cohérent ;
- L’inscription au tableau de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes ;
- L’enregistrement auprès de l’ARS (Agence Régionale de Santé) ;
- L’enregistrement au niveau de l’assurance-maladie (CPAM) ;
- L’adhésion à la CARPIMKO, la caisse de retraite ;
- La souscription d’assurances pour le cabinet, le véhicule et la Responsabilité Civile Professionnelle ;
- L’obtention d’un statut juridique et d’un extrait Kbis ;
- La demande d’aides financière ;
Où et comment s’installer en tant que kinésithérapeute libéral ?
Il est possible de s’installer à son propre compte, en associé ou en tant qu’assistant collaborateur. Le choix dépend des envies et de l’expérience, mais il ets grandement recommandé de faire une étude de marché de manière à sonder le secteur géographique sur lequel vous souhaitez vous implanter.
- Le kinésithérapeute souhaitant s’installer à son propre compte en individuel peut le faire via un statut dit BNC (avec comptabilité simplifiée), en SELURL (société à responsabilité limitée unipersonnelle) ou en SELASU (société par actions simplifiée unipersonelle) ;
- Le kiné souhaitant s’associer peut opter pour le statut SCM (société civile de moyens), SCP (société civile professionnelle) ou en SELARL (société d’exercice libéral) ;
Le local en lui-même peut faire l’objet d’une location, d’une acquisition à titre personnel, professionnel, en SCI…
Les aides à l’installation d’un cabinet de kinésithérapie
Les praticiens débutant leur carrière peuvent obtenir diverses aides leur permettant d’ouvrir un cabinet plus facilement. Voici les principales aides aujourd’hui existantes :
- Le contrat d’aide au maintien d’activité des masseurs-kinésithérapeutes (CAMMK) ;
- Le contrat d’aide à l’installation des masseurs kinséithérapeutes (CAIMK) ;
- Le contrat d’aide à la création de cabinet de masseurs-kinésithérapeutes (CACCMK) ;
- Installation en ZRR (zone de revitalisation rurale) ;
- Installation en ZFU (zone franche urbaine) ou ZRU (zone de redynamisation urbaine).
L’accompagnement Suire Médical : une aide précieuse pour la création ou la restructuration de votre cabinet
Suire Médical vous accompagne lors de la création ou la réhabilitation de votre cabinet de kinésithérapie. Dans ce projet, vous serez accompagné au maximum par deux personnes.
En tant qu’experts du milieu médical et tout particulièrement de la profession de la kinésithérapie, nous souhaitons apporter notre savoir-faire et nos compétences pour vous conseiller et accompagner dans l’établissement de votre projet.
Que ce soit des projets à court, moyen ou long terme, nous vous apportons de nombreux conseils et saurons répondre à vos besoins. La proximité est le maître-mot de Suire Médical.